La bibliothèque participe à la vingtième édition du Printemps des poètes en partenariat avec la Maison de la Poésie d’Avignon et vous propose à cette occasion des ateliers et une lecture sur le thème de l’Ardeur :

Jeudi 8 mars 2018 de 15h à 16h30, bibliothèque Maurice Agulhon, salle de recherche sciences,
Atelier d’écriture slam-poésie avec Marie-Clotilde Imbert

La pointe du stylo trempe dans l’encrier,
Dans la mer et les mots, ton écriture vogue avec style,
Elle fend les flots qui marinent,
Dans l’amer et les maux, trouve ton flow, une île.
L’atelier est choral à vocation orale :
Tu as moins d’un quart d’heure pour dire ton slam avec ARDEUR !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mardi 27 mars 2018 de 12h30 à 14h, bibliothèque Maurice Agulhon, salle de recherche sciences,
Atelier « Dire avec ardeur un texte en poésie » avec Natalie Pinot

Lire un texte devant un public, c’est se mouvoir avec justesse dans la matière des mots pour les donner à entendre. Nous travaillerons le souffle, la voix, le regard, la posture, l’engagement et les temps de silence… pour une restitution la plus vraie de l’écriture d’un auteur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

– Jeudi 15 mars à partir de 17h – Soirée de clôture, bibliothèque Maurice Agulhon, salle de recherche sciences,

=> 17h-17h30 – Restitution des ateliers avec les participants et animateurs d’ateliers : lectures dans les espaces de la Bibliothèque Universitaire
=> 18h – 19h – Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke, par Stephen Pisani

En 1903, lorsque Rainer Maria Rilke écrit à Franz Kappus, c’est tout autant au jeune poète de vingt ans qu’il s’adresse qu’à l’adulte en devenir, tourmenté par les questionnements les plus profonds. Rilke tente d’y répondre avec la plus grande sincérité. Mais ces lettres sont aussi l’occasion pour lui de s’interroger sur l’écrivain et l’homme qu’il est devenu. Comme Kappus, Rilke est traversé par les mêmes interrogations, les mêmes peines, les mêmes joies, les mêmes désirs.

« Avant toute chose, demandez-vous, à l’heure la plus tranquille de votre nuit : est-il nécessaire que j’écrive? Creusez en vous-même en quête d’une réponse profonde. Et si elle devait être positive, si vous étiez fondé à répondre à cette question grave par un puissant et simple « je ne peux pas faire autrement », construisez alors votre existence en fonction de cette nécessité ; jusque dans ses moindres instants les plus insignifiants, votre vie doit être le signe et le témoin de cette impulsion. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si vous souhaitez participer à ces événements, contactez bu-expo@univ-avignon.fr